Notre histoire
Création MCV
1963 Création de la Maison des Copains de la Villette (MCV) – Dans la continuité de la Maison des jeunes du quartier, elle porte les principes de l’éducation populaire sur laquelle elle s’est construite.
Création ADCLJC
Association pour le Développement de la Culture et des Loisirs des Jeunes de la Chapelle a été fondée en 1968, dans le 18ème arrondissement, sur une logique d’aide militante dans le sillage de « Lutte Ouvrière ». Son engagement et sa présence dans les quartiers de la Chapelle Sud et de la Goutte d’Or en ont fait un acteur connu et reconnu par les jeunes, les familles, les habitants et l’ensemble des acteurs.
Interventions Conjointes
L’ADCLJC et la MCV sont deux associations de prévention spécialisée, de taille équivalente et intervenant sur des territoires limitrophes. Cette proximité a conduit certains professionnels à intervenir ensemble, sur un « bassin de vie » – les jeunes des deux arrondissements investissant des espaces indépendamment des frontières administratives.
Projet de Rapprochement
Les gouvernances ont réfléchi à un projet de rapprochement, pour une meilleure réponse aux besoins des quartiers et de ses jeunes, une cohérence éducative sur des territoires de forte proximité, mais également une plus grande lisibilité auprès des acteurs et des pouvoirs publics.
La Fusion
L’APSAJ est née de la fusion entre l’ADCLJC et la MCV. Forte d’une gouvernance issue des deux associations, garante d’une continuité dans une dynamique renouvelée, l’APSAJ gère des équipes de prévention spécialisée – dans le cadre d’un conventionnement par la DASES, et un PAEJ – Point d’Accueil et Ecoute Jeunes.
Des valeurs fortes
L’APSAJ met la personne au cœur de son itinéraire de vie, comme acteur et auteur de ses choix, et en soutenant et valorisant ses propres ressources, sa culture et son histoire. Ses valeurs d’engagement sont fondatrices de l’action de nos équipes sur le terrain :
Le respect
Le respect de la personne et la reconnaissance de la singularité de chacun qui permet un accueil inconditionnel.
La laïcité
La laïcité, qui s’appuie sur le droit à la différence et son respect, le droit à l’ouverture pour éviter tout « enfermement » dans cette différence.
Le « vivre-ensemble »
Le « vivre-ensemble » par une promotion de la citoyenneté, la solidarité et une participation active à la lutte contre les inégalités.
L’ouverture des « possibles »
L’ouverture des « possibles » pour permettre à chacun d’être libre, autonome et responsable ; chaque personne rencontrée ou accompagnée doit pouvoir s’approprier son propre processus d’autonomisation, se placer en situation de faire des choix, d’apprendre de ses réussites comme de ses erreurs.